Croire en ses rêves

Entre-deux

Conçu pour l’exposition On ne sait pas comment ça a commencé, ce dispositif s’actualise avec des images de presse de l’année et avec des objets et des images de l’enfance collectés dans le cadre d’une collaboration avec un public choisi.

Détail de l’installation participative Croire en ses rêves

L’installation confronte deux imaginaires, l’un associé à l’enfance, l’autre au monde adulte au sein de trois espaces liés ; (1) une revue de presse visuelle de la publication Courrier International, (2) des étagères regroupant des jouets et des images enfantines, (3) un entre-deux vierge libre pour les graffitis, dessins et écritures.

Les visiteurs s’approprient cet espace intermédiaire à l’aide de textes et de dessins muraux.

Des cartes postales reproduisant des œuvres sont mêlées aux jouets et dessins enfantins.

Une vue d’ensemble avec diverses contributions
Une vue d’ensemble avec diverses contributions
Une vue d’ensemble de l’installation
Des collégiens contribuent à l’installation Croire en ses rêves
Contributions des visiteurs
Un commentaire
Un dessin d’enfant
Une réflexion philosophique
Un slogan
Diverses traces de contributions
Diverses traces de contributions
Jouets et vidéos pour les enfants, avec des inscriptions réalisées pas les visiteurs
Une personne dessine dans "l’entre-deux"
Croire en ses rêves, contributions des visiteurs

Actualisations Lien vers cette section : Actualisations

Note d’intention Lien vers cette section : Note d’intention

Installer un espace d’inscription libre qui permet aux personnes qui visitent l’exposition d’exprimer un avis au sujet de la réalité du monde et de l’enfance.

  • Une banque d’images symbolise le monde réel.
  • Un collection d’objets et d’images témoigne du monde enfantin.
  • Une série de reproductions d’œuvres matérialise la validation institutionnelle actuelle.
  • Un espace mural est laissé libre pour l’inscription de graffitis, dessins et textes.
  • Du matériel est proposé pour permettre une intervention des personnes.

Principes

  • La revue de presse visuelle se constitue à l’aide de publications de l’année mais on peut imaginer l’ajustement du dispositif avec d’autres ressources documentaires.
  • L’univers enfantin est formé avec des apports des gens, du public potentiel ; une sollicitation doit donc être faite en amont pour associer les gens et leur permettre de contribuer.
  • Les cartes postales représentant des œuvres sont choisies pour respecter une répartition strictement égale entre les auteurs et les autrices.

Espace de présentation : intérieur

Protocole Lien vers cette section : Protocole

  • Une demande d’intervention déclenche le dispositif pour un événement donné.
  • Une recherche préalable permet de constituer un fond documentaire initial en rapport avec l’événement.
  • Le public est sollicité en amont pour constituer une collection d’objets et d’images du monde de l’enfance.
  • Les gens sont également sollicités lors de l’accrochage et sont amené à réagir pendant l’événement.
  • Du matériel est laissé sur place à la disposition des personnes : crayons de couleur, gommes, taille-crayons, poubelles.

Conception et réalisation : patricia d’isola et christophe le françois
Photographies : christophe le françois

Pour prolonger

  • L’école des femmes 2.0

    Women’s school 2.0 (2022)

    Merci à Bérengère Gilberton de la Compagnie La Main Bleue qui nous a invités pour la restitution de sa résidence sous la forme d’un spectacle et d’une exposition à L’espace des Calandres d’Eragny.

  • Les travaux des élèves réalisés à partir de papier recyclé

    Tout l’univers recyclé

    Des publications abandonnées sont broyées et recyclées pour former les traces de nos questionnements et de nos expressions. Un atelier est accessible pour le public.

  • Algorithme poétique au féminin, vue d'ensemble

    Algorithme poétique au féminin

    Women’s poetic algorithm (2018)

    Installation réalisée pour l’événement "Féminité choisie", Marison Bernardin de Saint-Pierre, Eragny

  • Vue de l'installation Algorithme en résonance

    On ne sait pas comment ça a commencé

    We don’t know how it started (2015)

    Exposition à la galerie d’art contemporain de la ville d’Auvers-sur-Oise, octobre/novembre 2018

  • Forêt de mots

    Word forest

    Installation d’une forêt de mots, à l’occasion de la Fête du livre, et d’un dispositif participatif.